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"Un rêveur est celui qui ne trouve son chemin qu'au clair de lune, et qui, comme punition, aperçoit l'aurore avant les autres hommes. Oscar WILD" [PREZZ DE MÜN]

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Dim 26 Fév - 19:37
Rappel du premier message :

▬ MÜN LUNARIS
"Un rêveur est celui qui ne trouve son chemin qu'au clair de lune, et qui, comme punition, aperçoit l'aurore avant les autres hommes. Oscar WILD"
PRENOM• Mün
       NOM • Lunaris
       SEXE • Femelle
       ÂGE • 17 ans

       GROUPE • Plouf  Shocked
       PROFESSION • Hemm ... Tatoueuse ~
     
DESCRIPTION PHYSIQUE ET PSYCHOLOGIQUE
Tu n'est vraiment pas banale comme fille. Si auparavant tes cheveux longs et blonds de petite fille modèle étaient lisses et parsemés de barrettes et autres mignonneries, désormais, ils sont coupés au carré, teintés en violet foncé, et en tout temps ébouriffés. Tu les aimes mieux comme ça, c'est ta véritable nature, pas celle que tes parents ont voulu que tu ai. Tes iris bleu clair arborent un scintillement rebelle, bien que maussade dans tes yeux. Elancée, tu es assez maigre et fine, bien qu'un peu musclée. Ton nez court et discret est en harmonie avec ton visage creux et ovale. Ta peau veloutée est blanche de lait, tes traits de visage sont purs, et ta belle tête n'est en aucun cas abîmée par d'innombrables maquillages pathétiques. Tes maigres mains osseuses arborent pourtant de longs doigts fins qui paraissent fortement agiles par ailleurs. Tes minces lèvres ne s'étirent pour former un sourire que lors de rares occasions - souvent tu y es forcée par un coup de coude de tes tuteurs - qui te semblent d'ailleurs durer une éternité. Tu es de taille normale, même si tu es en sous-poids au niveau de la corpulence. Tu portes une "marque de fabrique" sur l'épaule. Juste une pleine lune se reflétant dans une mer d'encre, comme perdue, parfaitement ce que tu es d'ailleurs.

Ton caractère ? Rebelle sans hésiter, même si le mot le plus juste serait insolente et inconsciente du danger. Certainement les gens sont assez malaisés lorsqu'ils se retrouvent en face de toi. Surtout la psy, cette fille aux longs cheveux ondulés qui te posait de sérieuses questions auxquelles tu prenais le soin de répondre des idioties, avec un sourire narquois en coin. Tu es de nature violente, que tu tiens apparemment de ton vrai père. On a d'abord cru que tu n'irais pas dans le droit chemin, que tu deviendrais vite délinquante, ou trafiquante de drogue. Heureusement, ces postes ne t'intéressaient pas. Si tu pouvais nous dire une de tes passions, et bien, à la grande surprise générale, tu adores passer ton temps à bouquiner, ça te changes les idées, et te fait imaginer des tas de choses dans ton esprit fertile. Même si tu es brutale et que tu dis souvent leurs quatres vérités aux gens, tu réfléchis avant. Tu n'es pas bête comme tout le monde le croit. Tu as abandonné les études pour te ranger du côté art du tatouage tout simplement parce que tu  aimes ça, vraiment, et parce que tu ne supportais pas que les professeurs se permettent de te réprimander. Ils en avaient marre de toi et c'était réciproque. Ils avaient pourtant vu une grande intelligence et des compétences. Tu avais toujours refusé de faire un stupide test de Q.I., tu disais toujours :

"À quoi bon me tester comme un cobaye ? À quoi ça va me servir ? À savoir qu'est-ce que je vaux ? Je le sais déjà, même si vous, non."

Tu as toujours été très solitaire, toujours entrain de rêver à des projets fous dans ton coin. Si, une seule personne avait attiré ton attention, une seule personne t'avait adressé la parole. C'était un jeune fumeur, dans la rue, qui semblait avoir le même âge que toi, et la même mentalité. Lorsque tu lui avait demandé son nom, il t'avait adressé un clin d'oeil, avant de te le dire : Ano. Il t'avait intrigué, tu ne l'avais vu que de rares fois après, où tu lui parlais beaucoup de toi et de tes problèmes, mais lui jamais, il se contentait de t'écouter et de prendre des notes sur un petit carnet. Il savait ton adresse, ton numéro de téléphone, tout. Tu le prenais comme un confident à qui dire tout tes secrets, à qui tout dévoiler de ta vie privée. Voilà l'une des rares personne qui a fait ami-ami avec toi, et que tu n'as plus revu depuis un certain temps. Il te manque presque, c'est lui qui t'avait aidé à surmonter tout, qui t'avait fait prendre confiance en toi. Tu penses encore à lui, te demandant ce qu'il est devenu, en grande songeuse que tu es. Qui sait ce qu'il est vraiment ... Enfin bref, revenons-en à ton caractère. Après nombres défauts, mais aussi quelques qualités, il reste encore quelques choses à dire sur toi, comme notamment le fait que tu te montres très peu souvent impassible, que tu es très émotive, que ce soit négativement ou positivement. Tu as très peu de calme et de patience, tu es intrépide et directe. Souvent peuvent se repérer dans tes paroles, un étrange ton froid et distant, quelques fois railleur ou sarcastique. Tu n'es pas du tout naïve, tu es, tu es ... Enfin, tu es toi, et personne d'autre, l'unique Mün Lunaris.


     
LA LETTRE MYSTÉRIEUSE ~
Milles et une pensées se bousculent dans ta tête. Allongée sur ton lit entièrement fait de boiseries diverses, tu laisses libre court à tes songes. Une vague de bulles contenant de quelconques questions sur ta vie enveloppe ton esprit. Voilà qui va te valoir une bonne migraine si cela n'arrête pas. Tu arrives à trouver la seule question qui t'intéresses. Pourquoi tes parents sont morts ? Tu sais très bien que c'était lors d'un accident de voiture mortel, mais il y a-t-il une raison ? Il n'y a rien dans ta chambre, rien à part des livres à foison et quelques cahiers. Tu en ouvres un, et scrutes avec attention chaque tatouage que tu dessines avec soin sur les feuilles. Ils sont beaux, légers. Tu peux exprimer tout à travers ça. Tu clignes des yeux doucement, puis te lèves. Tu regardes l'heure sur ton téléphone : 15:03, . Tu sais que ton rendez-vous habituel est à quinze heures trente. A cette heure-là, tu retrouves tes parents au cimetière pour une courte et simple prière. Vingt-sept minutes pour trouver un indice dans la chambre de ta tante à propos du trépas de tes géniteurs. Tu ouvres la porte de ta pièce, et balaies les environs du regard. Personne. À pas de loup, tu te diriges vers le lieu que tu souhaites. Arrivée là-bas, tu pousses doucement la porte ornée de fleurs, et pénètres dans la pièce parfumée à en donner la nausée. Pleins de tiroirs, trop de tiroirs. Tu pousses un long soupir, il va bien falloir que tu t'y mettes. Tu fouilles donc dans une commode en bois sculpté, puis tombes enfin sur un carnet décorée en patchwork, intitulé : Journal de Johanna Franche. C'est celui de ta mère adoptive. Tu farfutes les pages, à la recherche de la date qui t'intéresse. Ta date de naissance. Là où tout a commencé. Tes yeux se rivent enfin sur le moment souhaité. Un large sourire s'esquisse sur ton visage laiteux. Tu te plonges dans ta lecture sans plus attendre, ton regard bleu clair fixé sur les pages vieilles depuis le temps :

"12 mars :

Ça y est, la petite Mün, la fille de ma meilleure amie est née. Parfaite, elle est parfaite. Sa mère a réussi sans trop de mal à accoucher, heureusement. Je viendrai bien la voir souvent, juste pour apprécier le petit visage rondouillard de Mün, mais j'ai du boulot. J'étais très satisfaite d'avoir reçu ce SMS si tôt dans la matinée, je suis comme qui dirait soulagée, même si je sais que la nuit a dû être dure pour la jeune femme. Enfin, je dois laisser mon écrit là, il faut que je me grouille sérieusement d'aller au Coffee Buck, le célèbre bar où je travaille, avant que je ne me fasse taper sur les doigts par le patron.

20 mars :

Que d'événements ! Mün est enfin sortie de l'hôpital, après quelques examens habituels pour vérifier sa santé. Je la vois aujourd'hui, n'est-ce pas magnifique ? J'ai invité ses parents à venir ici. J'espère que les quelques heures de route qu'ils devront effectuer ne va pas les fatiguer. Enfin, j'ai vraiment hâte de les recevoir. Avec mon mari, nous avons revêtu nos plus beaux habits, et nous organisons la soirée en ce moment-même. Nous voulons que tout soit parfait pour l'arrivée du bébé chez nous, que nos invités s'y sentent à leurs aises. Ah, que d'émotions envahissent mon esprit ... Et si je n'étais pas à la hauteur ce soir ? Mon mari ne cesse pas de me répéter que nous devons nous conduire en personnes banales, mais une question trotte dans ma tête. Qu'est ce que la normalité en fin de compte ?

25 mars :

J'en pleure encore. Un événement tragique. Pouf, deux vies de perdu, deux vies envolées comme si c'était normal. La culpabilité qui envahit mon esprit à chaque pensée me donne la nausée. Comment ai-je pu les laisser partir ? Ils avaient bu, beaucoup, et apparemment moi aussi, pour être aussi inconsciente. Seule la petite a survécu, mais elle en gardera les séquelles, ont dit les urgentistes. Accident de voiture. Des tonneaux dans le ravin près de chez nous. Ils n'étaient pas attachés. Ils sont morts. Mün était attachée. Mün est vivante. Nous n'avons rien. C'est moi qui ne méritait pas de vivre. C'est moi qui aurait du périr, pas eux. Surtout pas eux.

1 avril :

Ces blagues que mon mari me fait pour me remonter le moral me tannent plus qu'autre chose. Je me morfonds chaque jour un peu plus, et je sombre dans une profonde dépression pour finir. Mon médecin m'a bien sûr donné des médicaments, ni plus ni moins que des Dolipranes. Je ne les ai pas touché. Je n'en ai pas la force. A quoi bon me soigner ? Je ne mérites pas de vivre après avoir arracher ses géniteurs à Mün. Douleur. Que vais-je faire pour réparer mon erreur ?

Deux ans plus tard ...

25 décembre :

On dirait bien que le père noël est passé. Une sacrée surprise, qui me redonne presque le sourire. Mün a besoin d'une famille d'accueil. Nous nous étions présenté, même si nous avons une bien piétre réputation suite à l'accident. Nous étions pris. Nous passions notre noël avec Mün. Elle avait bien grandi en deux ans, une vraie bouille d'ange. Je la comblerai de cadeaux pour réparer mon erreur. Je ferai d'elle une parfaite princesse, pour que ses parents soient fiers d'elle. Et de moi. Cette dernière phrase n'était pas vraiment nécessaire, m'enfin ... Je serai une parfaite mère pour elle, je le promets, je le jure devant tous, je l'ai promis désormais.

10 ans plus tard, sans nouvelles sur le journal à grande surprise.

11 mars :

L'anniversaire de Mün est demain, un vrai désastre, je n'ai pas de cadeau. Cela fait maintenant plus de 10 ans que nous avons obtenu la garde de la petite. Chaque jour, chaque matin, je la pouponne, nattant ses cheveux blonds cendrés avec délicatesse. Nous ne lui avons toujours pas dit que nous n'étions pas ses vrais parents, peu importe, nous ne comptons pas lui l'avouer un jour. Trop cruelle vérité. Ô rage, Ô désespoir. Espérons juste qu'elle ne le découvre pas un juste. Enfin, elle rayonne de bonheur, sa beauté éclatant dans sa robe bleu pastel cousue par mes propres soins. Je me suis fait virée, il n'y a pas longtemps, mais j'ai retrouvé un boulot chez une couturière, et je dois avouer m'en sortir plutôt pas mal. Une hâte mais une peur me tenaille. Allez savoir pourquoi ...

12 mars -21:22- :

Panique. Je tremble. Je perds mes moyens. Tout c'est passé. C'est notre faute. Elle a fugué. Elle est partie. La police la recherche. Aucune nouvelle. Comment en sommes-nous arrivés là ? Tout simple. La petite est futée, maligne, mais surtout très curieuse et impatiente. Qu'a-t-elle fait ? Poussée par son instinct précipité, elle a farfouillé partout pour trouver son cadeau. Elle a trouvé les papiers de son adoption. Nous sommes découverts au grand jour. Peur."


Tu ne prends pas la peine d'en lire plus. La suite une autre fois. Tu sens ton coeur se serrer quand une pensée te submerge. C'est la faute de ta mère adoptive s'ils sont morts. C'est sa faute. Les larmes te brouillent la vue pendant un instant, jusqu'à que tu puisses apercevoir l'heure sur le radio-réveil de Johanna. 15:27. Il va falloir que tu y ailles, et vite. Heureusement que tu habites à côté du cimetière. Quelques mètres tout au plus à parcourir. Tu ranges soigneusement le journal aux milles et une fleurs dans le tiroir de la commode boisée, puis sors de la pièce avec lenteur, en refermant la porte comme elle l'était auparavant. Opération réussie. Tu descends les escaliers avec nonchalance, pour arriver au rez-de-chaussée, manquant d'ailleurs de tomber en trébuchant une ou deux fois dans les marches en collimasson. Tout est calme, silencieux. Ils sont peut-être partis faire une course au supermarché en face. Tu hausses les épaules, à vrai dire, tu y importes peu d'intéressement. Tu enfiles tes Nike violettes à pois blancs, fais tes lacets à la va-vite, puis mets un sweat blanc sur tes frêles épaules. Tu mets ta capuche bien sur ta tête, puis ouvres la porte d'une bourrade. Au passage, tu prends les clés, afin de vérifier la boîte aux lettres à ton retour. Tu fermes bien la porte, puis regardes à l'extérieur. En plus du mauvais temps et de la pollution, le paysage est magnifiquement sale et répugnant. Esquissant une moue de dégoût, tu sens de l'eau glisser sur ta peau nue. Youpi, il pleut ... Tu t'empresses de courir jusqu'au cimetière, en faisant comme un petit jogging du jour. Arrivée au monument, tu prends bien le soin de marcher, calmement, par respect pur et simple. Le souffle court, tu repères rapidement la tombe de tes géniteurs. Sous la pluie battante, tes yeux s'emplissent de pleurs. Ils sont là, comme devant toi. Tu prends une bouffée d'air glacial. Il faut que tu te contrôles. Tes jambes tremblent, ta vue se brouille. Tu tombes à genoux sur le sol dur et trempé. Une larme coule, puis une autre. Tu adresses une prière sanglotante à tes parents, les yeux rivés sur le sol. C'est comme ça tout les jours. Tout les jours, à la même heure, c'est le même rituel. Tu pleures, tu t'effondres, tu pries et tu t'en vas. Tes parents adoptifs te trouvent toujours courageuse de faire ça. Pas toi, pour toi, c'est juste normal. Du revers de la main, tu balaies tes larmes, et te relèves, chancelante. Tu respires un peu d'oxygène, tu jettes un dernier coup d'oeil à la tombe fleurie à souhaits, puis tu reprends ton chemin à l'inverse de tout à l'heure pour rentrer. Tu cours, ou plutôt, tu martèles le sol mouillé du mieux que tu le peux pour on ne sait quelle raison. Le coeur lourd, tu sens presque un poids gargantuesque reposer sur tes frêles épaules, alors qu'il n'y a aucune explication à ça. Un long frisson te parcourt, tu repousses une mèche de cheveux du bout du doigt, et entortille le tout autour. Tu fais ça lorsque tu es nerveuse. Arrivée à ta maison, tu te souviens qu'il fallait que tu regardes dans la boîte aux lettres. Dégoulinante d'eau, tu ouvres la petite boîte décorée de fleurs, qui commencent d'ailleurs à flétrir. Rien, à part de nombreuses publicités et ... Une lettre ? Tu laisses les catalogues et autres dans la boîte, et empoche la mystérieuse épître. Tu fermes la boîte, tout en gardant ton regard fixé sur le nom inscrit sur la lettre : Mün Lunaris. Tu esquisses un sourire pincé, la première lettre que l'on t'envoie depuis l'histoire de l'humanité. Franchement, ton interlocuteur n'aurait pas pu tout simplement utiliser son téléphone ? Il y a eu une avancée technologique depuis une paire d'année, alors soit le type n'est pas au courant et habite dans une grotte, soit il renie carrément son existence. Tu ouvres le cachet, et déplie l'épître avec soin. Pour ne pas la mouiller, tu te précipites à l'abri, dans la maison. Dans l'entrée, tu lis la lettre, captivée :

"Bonjour Mün !
Tu te souviens de moi, Ano ? Et bien, malgré ce moyen de communication qui date du Moyen-Âge, j'ai réussi à t'envoyer cette lettre à partir de l'adresse que tu m'avais donné. Cette peur qui m'a tenaillé le ventre lorsque je me demandais si tu avais déménagé ou pas ... Heureusement, je pense que c'est bel et bien la bonne maison ! Bref, tu te doutes que je ne t'ai pas écrit juste pour te raconter des insomnies. Je t'invite à venir passer une soirée fantastique dans le manoir de mes vieux ! Génial, nan ? J'ai trop hâte de te voir,
Bien à toi,
Ano.

PS : L'adresse, l'heure et le jour sont notés au dos."


La joie te prend soudain. Ta première soirée ! Tu as tellement hâte. Tu te dépêches de vérifier l'adresse et le jour. Quoi ? Aujourd'hui à ... dix-huit heures ? Pas de problème, tu y seras. D'après les informations, le manoir n'est pas loin, juste à quelques kilomètres de ton habitat. Tu peux y aller tranquillement en vélo. Il faut d'abord t'habiller. Comment ? Sweat, jean et bottes cloutées. Tout ce que tu aimes. Tu vas d'abord prendre une douche rapide, puis tu enveloppes tes cheveux violets dans une serviette pendant que tu te choisis un sweat propre pourpre, et un jean bleu troué au niveau des genoux. Tu te regardes dans la glace. Nikel. Tu enlèves la serviette après t'être correctement séché les cheveux, puis tu ébouriffes ces derniers avec soin, puis dévales les escaliers, joyeuse. Tu enfiles tes Dock Martins cloutées, et enfiles un bombers noir par dessus ton sweat. Tu écris un mot à la va-vite sur un post-it jaune fluo :

"Je pars pour la soirée. Bon vent les vieux."

Tu ricanes rien qu'à l'idée de voir la tête de tes parents adoptifs lorsqu'ils trouveront l'annonce. Tu sors dehors pour la deuxième fois de la journée, et ouvres le garage afin de prendre ton vélo. Tu enfourches celui-ci avec un sourire malicieux, fermes l'abri, et commences à rouler, pensant à tout et à rien. Après une route pas très longue, tu es enfin arrivée. Tu pars de ton vélo, le laissant en plan, trop excitée pour prendre le soin de l'attacher correctement. Tu toques trois fois à la porte du manoir. Un, deux, trois ... Un, deux, trois ... Un, deux, trois ...


     
"UN RÊVEUR EST CELUI QUI NE TROUVE SON CHEMIN QU'AU CLAIR DE LUNE, ET QUI, COMME PUNITION, APERÇOIT L'AURORE AVANT LES AUTRES HOMMES. OSCAR WILD"
PRÉNOM • Zoé
       SEXE • Femelle
       ÂGE • 13 ans

       DOUBLE-COMPTE • Nan
       VOTRE PRÉSENCE SUR LE FORUM • h24
       COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM • C'est magnifaïk ma chewie.
        AUTRE • BLBLBLBL
       
   
° CODAGE PAR DITA | EPICODE °
   
Mün Lunaris
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Mün Lunaris
Messages : 6
Date d'inscription : 26/02/2017

Moi
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Mer 1 Mar - 12:31
Et... j'ai le plaisir de te mettre ta couleur, tu es officiellement validée ! Bienvenue au manoir Balty ! Je déplace donc le sujet ^^
Netsu Haruka
Admin
Netsu Haruka
Messages : 38
Date d'inscription : 20/08/2016
Localisation : Assit dans un des fauteuils en velour de la bibliothèque, les jambes croisées. Son bras repose sur l'accoudoir et sa tête est posée sur son poing.

Moi
Âge: 18 ans
Caractère: Charismatique - Mystérieux - Drôle - Charmeur
Physique: Netsu est un jeune homme de grande taille et fin. Ses cheveux courts sont d'un châtain chaud tirant sur le roux cuivré. Ses traits fins rendent son visage agréable à regarder. Ses yeux en amande lui donnent un air énigmatique, réhaussé par son regard bleu océan.
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